Soumises à une autorité totale dans les murs clos de l’asile, quel moyen de résistance reste-t-il aux internées ? Le refus de s’alimenter (la «grève de la faim») reste l’une des seules protestations possible.
Du point de vue du soignant, il est indispensable dès lors d’alimenter la patiente de force, pour sauver sa vie… ou pour briser sa révolte ?